LA MOBILITÉ DES STAGIAIRES – LES TÉMOIGNAGES
Promotion 2016-2017
Marouane, 20 ans – Salford
Le 5 novembre 2016, plusieurs questions m’ont traversé la tête : « Mais qu’est-ce que je suis venu faire ici ? Pourquoi je ne suis pas resté au calme avec mes parents, ma famille, mes amis, ma routine ? » Toutes ces questions me sont venues à l’esprit alors que je venais d’emménager dans ma nouvelle chambre : 9 m2, très sombre, sans volets, juste des rideaux. Cela me donnait un grand sentiment d’insécurité. D’autant plus que j’étais à Salford, une ville au nord de Manchester qui n’est pas très bien réputée, notamment en raison de son banditisme. Et puis, il y avait cette pluie anglaise !
Ce matin-là, je me suis dit : « Maintenant que t’y es, serre les dents et ça va le faire, t’inquiète ! Six mois, ce n’est pas si long… » Ma première semaine de stage chez Sport Finance Kappa UK, dont les locaux se situaient en plein centre-ville dans des bureaux tout rénovés, a débuté. Et c’était… catastrophique. Je ne comprenais quasiment rien de ce que mes collègues me racontaient. J’avais même un collègue qui venait de Liverpool, or l’accent de Liverpool est le plus incompréhensible de toute l’Angleterre. J’avais l’impression qu’il ne parlait même pas anglais ! Je savais encore moins m’exprimer que comprendre. Des fois, juste on me posait des questions du style : « Marouane peux-tu me passer le verre ? » Et moi je répondais : « Oui oui, je vais bien ! »
Heureusement, j’ai rapidement découvert un lieu où je me sentais bien : la cuisine. Oui, la cuisine. Le soir, après le taf, je rentrais dans la cuisine qu’on avait en commun avec tous mes voisins, c’est-à-dire six ou sept personnes qui étaient elles aussi dans des petites chambres, comme la mienne. Il y avait des Italiens, dont j’ai pu vérifier les goûts pour la bonne nourriture, des Polonais, dont j’ai pu voir que leur attachement à l’alcool n’était pas un mythe, et plusieurs Français. La majorité étaient étudiants sauf un, celui qui avait la chambre collée à la mienne qui était croupier dans un casino, mais qui est parti seulement quelques semaines après mon arrivée car il avait trouvé un meilleur poste dans un casino en Suisse. Les autres étaient présents pour l’année scolaire.
Vu que la cuisine était assez petite, elle donnait un sentiment d’intimité. Une relation particulière s’est installée entre nous, car nous étions tous dans la même situation : à l’étranger pour quelques mois. Comme il y avait des personnes venant d’un peu partout en Europe, ça m’a permis de pratiquer mon anglais quasiment tous les soirs. Dès que ça parlait un peu français, j’entamais vraiment la discussion avec mes voisines. On parlait un peu de tout et de rien. Enfin surtout de la vie à Manchester et des différences avec la France. Ce qu’on a le plus remarqué (et apprécié), c’est que les Anglais n’ont strictement aucun préjugé. Dans la rue, personne ne regarde les vêtements ou bien même l’allure des autres. Cela m’a amené à me dire qu’il y avait un problème avec le regard que je portais sur les gens. Les préjugés que j’avais. Depuis mon retour en France, je suis beaucoup moins dans le jugement, je laisse les gens mener la vie qu’ils veulent vivre. Si une personne décide de se différencier avec une coupe ou des habits extravagants, je ne vais plus la juger, lui faire des réflexions. Être plus ouvert, c’est bénéfique pour tout le monde.
Ce séjour m’a apporté énormément de confiance en moi. Je me suis rendu compte que j’avais eu peur pour rien. J’ai réalisé que c’était en sortant de sa zone de confort qu’on vivait les expériences les plus intenses. Parce que je me sentais bien dans notre petite cuisine, ça s’est aussi passé de mieux en mieux dans l’entreprise. J’étais plus détendu. Les collègues venaient me demander mon aide. Mon niveau d’anglais, entre le début et la fin de mon stage ? Le jour et la nuit. Au début, je ne savais pas dire une phrase correctement, alors qu’à la fin, je faisais des blagues. J’ai même commencé à rêver en anglais, c’est vous dire ! Comme tout se passait pour le mieux, je me suis dit que j’étais capable de conquérir le monde !
Ce stage m’a apporté beaucoup plus que je ne le pensais. Je suis parti en étant un adolescent et je suis revenu en étant un homme ayant le sens des responsabilités. Mon entourage a senti que j’étais revenu avec davantage de maturité.
Marouane
Témoignage publié sur le site internet de La ZEP.
Nawal, 21 ans – Londres
Hi! Je crois que mon expérience a été plus qu’inattendue : j’étais censée partir en Norvège et me voilà, quelques mois plus tard, dans une grande ville comme Londres. Si je devais résumer ma vie là-bas, je dirais que ça a été riche en surprises, autant en termes de découvertes artistiques et culturelles, qu’en termes de découverte de moi-même et de mon potentiel.
Mon stage me laissant du temps libre, je me suis focalisée sur le but que je m’étais fixé : partir à l’étranger pour m’inspirer, m’enrichir de tout ce qui se fait dans les Arts du spectacle et l’industrie du divertissement, afin de rentrer prête à démarrer mon projet de création d’entreprise dans la région aquitaine.
Il a fallu que j’aille à un seul meeting pour rencontrer des professionnels de l’industrie musicale et pour que mes projets prennent vie. C’est suite à ça que spontanément, j’ai démarré mon blog, transformé mon projet de création d’entreprise en organisation de festival. J’ai commencé à attirer vers moi des artistes, des gens qui s’intéressaient à mes idées et cela m’a donné la niaque de m’accrocher pour concrétiser mes rêves.
J’ai appris et développé énormément de compétences grâce à mon blog car je réalisais des interviews, faisais des montages vidéos, et tout cela en anglais. Mais ce qui m’a beaucoup marqué durant ce voyage, c’est d’apprendre à vivre seule, tout en côtoyant les autres, surtout en colocation. J’ai découvert la culture britannique, indonésienne, moldavienne, égyptienne, pakistanaise et j’en passe. J’adorais poser des questions, comprendre comment ils vivent dans leur pays respectif. Vivre seule et voyager seule m’a changée, je me suis vue m’émerveiller de nouveau en revenant à Bordeaux, me sentir chanceuse de ce que j’ai, et ça, ça n’a pas de prix.
Je reste incroyablement reconnaissante de tous ces gens et artistes que j’ai rencontrés, parfois des inconnus m’ont aidée, parfois c’était des rencontres qui duraient pas plus d’une heure, mais je sais que je me rappellerai de chaque visage, parce qu’ils me rappelleront pour toujours le sentiment que j’avais à ce moment là : d’être libre et de vivre pleinement ma vie.
Aurore, 21 ans – Espagne
Hola Avec ce stage je me retrouve dans un environnement familier : accueil client, guidage, marketing promotionnel. Je me suis familiarisée rapidement au “Segway” (après quelques bleus !) et j’ai débuté les visites guidées (français, espagnol, anglais) dès le troisième jour après mon arrivée dans l’entreprise.
J’effectue plusieurs tâches dans ce stage : marketing promotionnel sur les réseaux sociaux, traduction français-espagnol (et inversement), accueil, entretien des équipements et, bien entendu, la mission la plus importante : la réalisation de visites guidées (j’ai eu à prendre en charge des groupes allant de 2 à 11 personnes… toute seule : un vrai challenge !).
Une journée de travail est très chargée car l’entreprise est la plus ancienne et la plus réputée sur TripAdvisor pour les tours en “Segway” ; nous avons donc beaucoup de réservations… Mais c’est un réel plaisir de guider des gens et leur faire découvrir la ville et la culture espagnole tout en apprenant sur leurs voyages, leurs passions etc. Aucune visite n’est pareille et avec les collègues nous avons toujours de quoi parler à un retour de visite (une chute du “Segway”, une question étrange posée par un client etc).
Le fait de guider en Segway demande beaucoup de vigilance et réaliser des visites en différentes langues au cours de la journée fait que je termine la journée bien fatiguée, mais je recharge les batteries autour de tapas et d’une petite clara jaja.
Ce stage permet réellement de développer le côté relationnel avec les visites, former son oreille aux accents du monde entier (et même apprendre certaines formes d’accueil dans d’autres langues comme en hollandais, ou en indien).
Lilian, 18 ans – Malte
[Aperçu de l’interview de Lilian par sa professeure, Claire Le Cam]
Quels ont été les moments les plus difficiles avant le départ ? Il y a eu premièrement la recherche d’un logement qui a pris énormément de temps puis le stage; qui n’aurait pas été simple à trouver tout seul… Et enfin le jour du départ, car je ne savais pas du tout à quoi m’attendre une fois arrivé la-bas.
Après le départ ? Dès l’arrivée, pour trouver son chemin ce n’est pas facile. Et le fait de ne pas avoir d’appartement dès le départ.. Enfin, le manque de la France si je puis dire, la famille…
La France te manque-t-elle ? Oui, bien évidemment la France me manque. Même si 6 mois ce n’est pas long…
Que te manque-t-il de la France ? La famille, les amis, la nourriture, la campagne.
Est-ce que l’adaptation a été dure au travail ? Un peu au début car il faut se faire à la langue mais sinon niveau travail cela n’a pas été dur. Mon employeur (…)
Par ailleurs, à son retour de stage, Lilian a accepté de nous livrer son ressenti sur sa mobilité, ce que cela lui a apporté et l’île de Malte… en vidéo !
Aurore, 24 ans – Luxembourg
Bonjour tout le monde ! J’ai débarqué il y a tout juste un mois dans la région du Grand-Duché au Luxembourg. Je travaille comme technicien de maintenance industrielle, chez Faurecia. Cette entreprise fabrique des tapis pour les automobiles.
Comme, au Luxembourg, les loyers sont exorbitants, j’ai trouvé une chambre étudiante dans la ville de Bastogne en Belgique. Je découvre les communes, traditions et habitudes wallonnes. Leur façon de dire « Septante », « Nonante »… et ne cherchez pas un escabeau car on vous donnera une escabelle, sa cousine belge.
Et pour le travail, tout est parfait : ma tutrice a organisé par mois les missions dont je serais chargée. Ainsi, comme je l’avais souhaité je serais 3 mois dans le service de maintenance, puis 3 mois à la qualité, pour découvrir toutes les facettes de ce métier.
Certains de mes collègues ont trouvé étrange de recevoir une jeune fille chez leurs « mécanos » : il y a « nonante huit » (98) % d’hommes ici.
J’observe, je pose des questions et je pratique dès que je peux. C’est très instructif.
Arthur, 23 ans – Reykjavik, Islande
Bonjour tout le monde ! Voilà un petit témoignage du début de mon stage à Reykjavik, en Islande, puisque ça fait un peu moins de deux semaines que j’y suis.
Pour ceux qui me connaissent un peu, vous savez que j’aime l’aventure et que je suis toujours plus ou moins à l’arrache. Le premier jour, j’arrive donc à Reykjavik et je pensais crècher chez mon maitre de stage, Huldar Freyr Arnarson, qui est sound designer pour le cinéma et les séries télévisées (je vous en parlerai plus tard). Et oui, je n’avais pas trouvé d’appartement ou autre, donc le plan était d’arriver et de poser directement mes affaires chez lui. Vous vous en doutez, ça ne s’est pas passé exactement comme prévu… Après m’avoir montré le centre-ville et notre lieu de travail, Huldar me dit qu’il vient de déménager, qu’il n’est pas totalement installé et que je devrai donc dormir… sur le canapé du studio de production. Heureusement, je n’y suis resté qu’une semaine. Depuis, j’ai changé de canapé, et je suis maintenant dans le salon de son appartement, et c’est bien, bien mieux.
Donc, qu’est-ce que je fais de mon stage sinon ? Et bien, pour l’instant je fais beaucoup d’observation. En effet, le projet actuel sur lequel nous travaillons est une série télévisie commandée par Rùv (une chaine publique) qui s’appelle “Fangar” (“prisonnières”). Très gros projet, avec de gros moyens. Je ne peux donc pas, après seulement quelques jours, bosser sur le projet qui est presque à terme. Alors j’observe.
Huldar travaille seul. Pour faire court, il s’occupe de toute la bande son après le tournage – ce qu’on appelle la post-production dans le milieu. Il enregistre tous les bruitages, réenregistre éventuellement des dialogues (les acteurs viennent donc au studio), monte tous les fichiers audios (comme du montage vidéo, mais pour le son) – c’est-à-dire dialogues, bruitages, sons d’ambiance, sons de salles et la musique – puis mixe tout ça. En simple, il choisit ce qui va être plus fort, et quand, tout en respectant les normes télévisuelles. Et c’est pas forcément simple sur un projet de cette ampleur. Je regarde et j’apprends. Parfois, les clients viennent pour regarder l’avancement du projet, donner leur point de vue, et éventuellement corriger certaines choses. Et c’est comme ça que j’ai rencontré Ragnar.
Ragnar Bragason est un réalisateur et metteur en scène islandais. C’est donc le réalisateur de la série Fangar. Et, depuis que j’ai aménagé chez Huldar, c’est aussi mon voisin. Il a un look très nordique : grand, chauve, barbu, le regard un peu dur. Mais c’est un mec très sympa, qui fait l’effort de parler anglais de temps en temps pour m’impliquer dans les conversations. C’est, certes, un détail, mais sachant que je ne comprends pas un mot d’islandais, que, parfois, certains fassent l’effort de m’inclure, fait du bien au moral (pour l’anecdote, les islandais parlent pour la plupart très bien l’anglais, et je parle cette langue avec Huldar).
Et donc, comme c’est un projet très important, et bien, les week-ends n’existent pas vraiment. Tout comme le principe d’horaires. La plupart du temps, on commence à travailler vers 11h ou midi, puis nous finissont entre 22h et 23h, parfois 1h du matin. Et ça, du lundi au lundi. Tant qu’il y a du travail, il faut le faire. Ca ne me dérange pas trop, car je peux tout de même sortir quand je veux, le travail n’est pas trop stressant ni trop physique, et je m’entends très bien avec Huldar. Donc, tout va bien.
C’est pour cette raison que je n’ai pas trop de photos à vous montrer non plus, car je n’ai pas beaucoup bougé à vrai dire pour l’instant. En plus, il n’y a que 6h de jour sur 24h, donc ça n’aide pas ! Je vais plutôt vous montrer un autre aspect de mon environnement.
Sinon, hier, je suis allé à l’avant-première de la série (les deux premiers épisodes passaient au cinéma pour une soirée privée). J’ai pu voir toute l’équipe qui travaillait sur le film (même si je n’ai pas vraiment pu les approcher), et c’était sympa. Par contre, je n’ai absoluement rien compris car tout était en Islandais, sans sous-titre. Pas de chance !
Je suis désolé, tout ça est un peu dans le désordre, mais j’écris tout en essayant d’observer le travail d’Huldar en même temps.
Voilà, j’espère que tout se passe bien pour vous, et espère voir vos petits témoignages à vous aussi ! La bise !
Angélina, 22 ans – Prague, République Tchèque
“Ahoj (Salut en tchèque) ! Un petit mois que je suis à Prague en République Tchèque. Je travaille pour l’entreprise PragueWeddings.Com ; je suis actuellement formée pour être Wedding Planner, Web developer et assistante marketing. Ici, on ne compte pas ses heures et on est obligé de se faire des plannings à la journée pour ne pas être débordé… Au final c’est exactement ce qui me plait, je ne suis pas une simple stagiaire mais un réel membre de la team. Entourée uniquement d’une équipe féminine et de notre patron, c’est très chaleureusement que l’on m’a accueillie et que l’on prend du temps pour m’enseigner tous les aspects du métier.
Le weekend dernier c’était la Wedding Expo 2016, organisée par mon entreprise : c’est le rendez-vous incontournable pour trouver les prestataires pour son mariage, ou assister aux défilés des nouvelles collections de robes de mariée. Cette exposition accueille environ 2 000 visiteurs sur deux jours. J’ai été en charge de m’assurer que tout se passait bien du côté des exposants, et de faire la liaison entre eux et mon patron. L’exposition à présent terminée, je suis en charge de l’organisation d’un mariage pour mai 2017 et j’organise également une demande en mariage pour le 27 décembre 2016… sans oublier les tâches liées au marketing et au web. Mon travail change tous les jours et je rencontre énormément de monde grâce à ce stage. De plus, travailler pour une entreprise aussi importante représente certains avantages… Comme être sur la guest list du concert de The Lumineers, après avoir rencontré leur manager pour organiser son mariage par exemple ! Na Shledanou (mot que je suis encore incapable de prononcer) !”
Ruddy, 22 ans – Dublin, Irlande
Aujourd’hui, c’est mon premier jour à l’agence Stayplanet ; je rencontre 3 personnes formidables qui m’accueillent généreusement dans leur équipe. Pour vous dire, les clefs de l’agence m’ont été transmises dès le deuxième jour. Une confiance mutuelle s’est directement installée entre les membres du personnel et moi. Bien plus qu’un stagiaire, j’ai été considéré comme un véritable employé. Ayant des lacunes en anglais, je suggère aux membres du personnel Kwame, et Antony de m’aider à améliorer mon anglais ! Ils acceptent cette proposition à bras ouvert et me corrigent quand je ne prononce pas un mot correctement. Accompagné par le Webdesigner et le responsable Marketing, nous nous répartissons chacun différentes tâches ayant pour objectif commun de promouvoir la startup StayPlanet, en concurrence avec Air Bnb. Chacune de nos actions est confirmée par Flora LAMBA, la directrice de l’agence ; elle dégage une grande énergie ainsi qu’une aura positive et est très appréciée de tous. Ce lieu de stage correspond entièrement à mes attentes tant sur le plan professionnel, que sur les valeurs humaines saines. Je partage leur culture au quotidien et je prends plaisir à améliorer mes compétences en anglais. Merci à toute l’équipe d’Aquitapro et à Erasmus+ pour m’avoir permis de me créer une telle opportunité à l’étranger. Si je devais décrire ce pays qu’est l’Irlande en un seul mot ça serait celui-ci : CONVIVIALITÉ.
Bon stage à tous les étudiants, j’espère vraiment que tout va pour le mieux de votre côté.
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